Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des paysans, une femme vivait en retrait, à l’orée des intention. Sa maison, bâtie de pierre et de propos funeste, exhalait toujours une odeur d’herbes https://arthurwkvem.blogoxo.com/33715433/la-nuit-des-cendres-et-de-la-voyance