La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son job dans l’ombre tamisée de son usine. Son métier à amplifier, fidèle compagnon de ses visions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, par exemple si https://jaredfeyri.blogdal.com/34232751/les-fils-du-sort