Le manoir se dressait, obligeant, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les itinéraires envahies par les ronces, une composition de verre et métallique résistait encore au années : une serre oubliée, impénétrable à la suite un mur de végétation sauvage. https://johnnyyjpsu.blogsidea.com/40176675/le-jardin-des-obscurcissements-statiques