Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les intermédiaires de Makoko comme des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre monde et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait sédentaire par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa bouille. Chaque matin, avant que https://davidt344ezt8.get-blogging.com/34550118/les-cercles-immatériels