La journée matinal s’étendait légèrement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la limpidité qui guidait les mouvements. Le macrocosme y vibrait en empruntant une autre voie, par les reliefs, les consistances et les sons ténus du silence. Dès les premières heures du jour, les consultations https://finnlkifb.therainblog.com/32981052/la-superficie-et-l-ombre