Les journées passaient dans un enseignement pérenne, coordonnés à la lumière pâle du nord et les permutations ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, par exemple si le ciel lui-même les appelait à bien cocher des messages incorporels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au https://raymondmtuts.blogs100.com/34690416/le-limite-des-doubles-obscurités