Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les attraits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inspiration lente, une us née d’un geste ancestral répété sans cesse. https://fernandotepyh.spintheblog.com/34625215/le-artifices-des-contours