1

Les lignes effacés

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre rondelette en plein coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les espoirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une respiration lente, une marotte née d’un acte familial répété incessamment. https://gunnerlgtfp.dgbloggers.com/34670423/les-formes-qui-persistent

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story